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Vous souhaitez avoir accès aux articles que publient les membres du CRIAVS-CVL ?

Sur le site ResearchGate en allant chercher les comptes associés : Robert COURTOIS, Catherine POTARD et Ingrid BERTSCH.
Sur HAL Archives ouvertes (édité par le CNRS) pour y trouver les membres dont Robert COURTOIS (ou par les carnets d'Hypothèses.ord (Open.edition) : Blog de chercheur: https://violencesex.hypotheses.org/)

Vous souhaitez collaborer avec notre équipe sur un projet de recherche ? Contactez-nous !

Vous êtes intéressés pour faire un don pour la recherche ?

Que vous soyez entreprises ou particuliers, vous pouvez participer à la recherche en contribuant à son financement.

Si vous désirez participer au titre de la recherche sur les violences sexuelles, il faut le préciser pour qu'il puisse nous être destiné : https://fondsdedotation-chru-tours.fr/faire-un-don

Contrairement à l'étranger, la recherche en France est financée presque exclusivement de fonds publics. La France doit rattraper « son retard » en termes de financement de la recherche (son rapport entre la dépense intérieure en recherche et développement (DIRD) et la PIB est de 2,20 en 2018 loin derrière celui de l'Allemagne par exemple (3,13) ou de la Belgique (2,76) - voir les statistiques de l'OCDE dans ce domaine).

De fait, les financements de la recherche sont plus compétitifs. Ils peuvent être de différentes natures : (i) régionaux comme par exemple les APR (appels à projets régionaux) ; (ii) nationaux comme par exemple les différents appels à projets de l'ANR (Agence National de la Recherche) ou les PHRC (Programme Hospitalier de Recherche Clinique) pour la recherche clinique (dans des centres hospitaliers) organisée par la DGOS (Direction générale de l'Offre de soins) et (iii) évidemment international (européens, franco-canadiens, etc.). L'obtention d'un budget « fléché » ne permet pas l'investissement dans du matériel différent que celui qui était nécessaire au projet.

Actuellement, nous aimerions pouvoir financer l'achat d'un matériel de suivi du regard (« Eye tracking ») et de lectures des émotions (« Face reader ») afin de développer des recherches auprès de populations générales et dans le cadre du harcèlement de rue et des violences sexuelles.